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Lancement d’une enquête pour l’amélioration de l’évolution des structures et des méthodes de production agricole

2 364 exploitants agricoles interrogés à La Réunion

Le ministère de l’agriculture et de la souveraineté alimentaire réalise une enquête de grande ampleur auprès des exploitants agricoles sur l’ensemble du territoire national. Elle fait partie du programme national d’enquêtes et a pour finalité l’amélioration de l’évolution des structures et des méthodes de production agricole.

À La Réunion, cette enquête sera conduite par le service statistique de la direction de l’agriculture, de l’alimentation et de la forêt (DAAF) auprès de 2 364 exploitants agricoles. Elle se déroulera entre le mois d’octobre 2023 et de février 2024 sur l’ensemble du territoire réunionnais.

Près de 23 enquêteurs ont été recrutés par la DAAF pour conduire les entretiens téléphoniques et physiques avec les exploitants. Les questions qui seront posées portent sur les cultures mises en valeur pendant la campagne 2022-2023 et les cheptels présents. Les principaux sujets traités sont, les caractéristiques générales de l’exploitation, les types et moyens de production, le foncier, la main d’œuvre, l’équipement, les productions végétales et animales, les pratiques et les signes de qualité.

Afin de faciliter le remplissage du questionnaire, et, de ce fait, réduire le temps d’entretien, les exploitants sont invités à se munir du récapitulatif de leur dossier politique agricole commune 2023 (PAC) ou de tout autre document en leur possession.

L’enquête structure des exploitations agricoles de 2023 répond à une exigence européenne, visant à suivre l’évolution de l’agriculture dans chaque état membre entre deux recensements agricoles. Il s’agit de la première étude depuis le recensement de 2020. Les données qui seront collectées permettront de guider les politiques agricoles menées ou en préparation, et de suivre la démographie des exploitations agricoles françaises.Cette enquête a reçu le label d’intérêt général et de qualité statistique du conseil national de l’information statistique (CNIS), elle est obligatoire. Ceci confère la stricte confidentialité des réponses qui sont couvertes par le secret statistique (loi n° 51-711 du 7 juin 1951 modifiée), ce qui garantit qu’elles ne seront ni divulguées, ni utilisées par d’autres services que les services statistiques du Ministère.

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